Les photos de vacances, comme les photos de famille, c’est un peu mon sujet de mémoire de Master d’Arts Plastiques. Dans ce cas là, très peu de visages, de portraits, il y en a peut-être un ou deux tout au plus. Ce n’est pas ce qui m’intéressait dans la photographie quotidienne de mon quotidien.
En photographie j’ai toujours aimé photographié les visages sur le vif, sans forcément qu’ils s’en rendent compte. Ils sont plus vivant que lorsqu’ils posent, et c’est cette vie que j’aime capturer. Toute fois cela ne m’empêche pas de m’éclater comme une folle au studio photo à faire poser des demoiselles pour les vêtements de Julie (notamment), ou mes petites fantômes de l’an dernier.
Mais là dans mon quotidien photographié, les visages vivants n’étaient pas ce qui m’intéressait. Je voulais fixer les grands espaces de ma vie, les motifs accidentels crées par tout ce qui m’entoure. La photographie de paysage n’a pas forcément beaucoup d’intérêt, mais mon quotidien n’en a pas forcément non plus, l’un dans l’autre, cela va bien ensemble.
Durant mes trois semaines et demi de vacances ardéchoises j’ai tenté de photographier mon premier paysage de la journée, le paysage devant mes yeux lorsque je me levais.
Les paysages matinaux ressemblant aux paysages de coucher de soleil, j’ai également tenté de photographier certains beaux ciels de fin d’après midi.
Les dernières images restent dans cette optique de paysage matinal, exceptée celle du train qui signale mon retour en ville.
Bon voyage dans la première partie de mes photos de vacances : Les matinées pluvieuses de l’hiver ensoleillé.